Le saviez-vous ? Le parc des ascenseurs du site de la Milétrie atteindra près d’une centaine d’appareils en 2017, avec l’arrivée du centre neuro-cardio-vasculaire et de ses huit ascenseurs supplémentaires. Le trafic le plus dense se situe aujourd’hui au niveau du noyau de Jean-Bernard, où les cinq montemalades et les trois ascenseurs logistiques ont été renouvelés en 2011, et les quatre ascenseurs publics en 2015, pour un coût total de 2,25 millions d’euros.Le saviez-vous ? Le parc des ascenseurs du site de la Milétrie atteindra près d’une centaine d’appareils en 2017, avec l’arrivée du centre neuro-cardio-vasculaire et de ses huit ascenseurs supplémentaires. Le trafic le plus dense se situe aujourd’hui au niveau du noyau de Jean- Bernard, où les cinq montemalades et les trois ascenseurs logistiques ont été renouvelés en 2011, et les quatre ascenseurs publics en 2015, pour un coût total de 2,25 millions d’euros.
Le remplacement des moteurs, vieux de 35 ans, par des dispositifs plus performants, a permis de diminuer de moitié la consommation électrique, ce qui n’est pas négligeable au vu de l’activité de ces douze ascenseurs. Au total, les économies sont ainsi estimées à 50 000 euros par an. De plus, l’énergie générée par le freinage est aujourd’hui transformée en énergie électrique, puis consommée instantanément par l’armoire électrique de l’ascenseur.
C’est enfin la sécurité des ascenseurs qui a été améliorée : les câbles ont été remplacés par un système de cinq courroies dont la continuité est testée en permanence par un faible courant électrique. Rassurant, quand on sait que leur vitesse s’élève à 2,5 mètres par seconde ! La vétusté d’un ascenseur étant fixée à vingt ans d’activité, la plupart des autres pavillons de la Milétrie font également figure de bons élèves (Maillol, Claudel, UBM, PRC, satellite technique) ; si l’on excepte Beauchant, Salles et Rodin, équipés dans les années 80.