Reprographes : réactivité et rigueur

Reprographie

Parmi les métiers du CHU de Poitiers, il y a celui de reprographe. Un métier qui impose de la rigueur, de la réactivité et de l’adaptabilité pour répondre aux nombreuses demandes de travaux de reproduction. Et ce sont ces qualités qu’ont Jean-Claude Dupuis, chef du service de reprographie, Brahim Djedoui et Dimitri Gargouil. Mais leurs missions ne s’arrêtent pas à la simple impression de documents. Ils sont force de proposition et ils sont attentifs au respect de la charte graphique, l’image même de l’établissement.

Quel est votre métier ?

Nous sommes reprographes. Nous effectuons des travaux de reprographie pour l’ensemble des sites du CHU de Poitiers. Nous répondons aux demandes de l’ensemble des services administratifs ou de soins, des services supports et des écoles et instituts de formations paramédicales. Pour cela, nous disposons de quatre imprimantes – deux en noir et blanc et deux en couleur – et d’un traceur. Nous réalisons l’ensemble des opérations de reproduction de
documents : la commande, le conseil, la duplication, le façonnage, etc. Nous sommes capables de reproduire tous types de documents depuis la simple feuille A4 et les documents pliés en trois, en passant par le document relié et le livret à piqure à cheval jusqu’aux affiches grands formats.

Pouvez-vous nous décrire la journée type d’un reprographe ?

C’est très difficile de décrire une journée type parce qu’aucune journée ne ressemble à une autre. Les types de demandes ou le nombre de documents à reproduire ne sont jamais les mêmes. Cela peut aller de quelques exemplaires à 10 000 exemplaires comme c’est le cas avec les bulletins de salaire. Nous travaillons depuis de nombreuses années à la reprographie et les journées n’ont jamais été pareilles. Certains jours, nous croulons sous les demandes et d’autres jours, nous en avons trop peu. C’est vraiment variable.

Qu’est-ce qui vous plait dans votre métier ?

Ce qui nous plait c’est justement la grande variété de nos tâches. Bien sûr que cela reste de l’impression mais ce n’est jamais le même type de demandes. C’est intéressant également de pouvoir conseiller les demandeurs sur le type de format ou bien le papier.

Avez-vous une anecdote à nous raconter ?

On nous confond souvent avec le service de médecine de la reproduction ou bien on nous appelle les reproducteurs.